“Je pense que la production de Totilas n’est pas encore à la hauteur de sa carrière sportive”, Karine Serneels (3/3)

Le 15 décembre 2020, le petit monde du dressage a été secoué par l’annonce de la mort de Totilas. À vingt ans, le glorieux KWPN avait succombé à des coliques, laissant derrière lui pléthore d’admirateurs, conscients d’avoir été spectateurs d’un phénomène hors du commun. Après la fin prématurée de sa carrière sportive, le sublime étalon noir avait déjà rejoint les Donnerhall, Weltmeyer, De Niro, Rubinstein I et autre Jazz au panthéon des reproducteurs de dressage. Quatre ans après sa disparition, et alors que certains de ses descendants s’affronteront dans plusieurs semaines à Versailles pour le rendez-vous olympique qui a tant manqué à son palmarès, retour sur la carrière et l’héritage de Totilas.



Au-delà de ces désaccords pécuniaires, l’héritage de Totilas continue logiquement de se transmettre chez ses petits-fils, dont près d’une centaine sont, eux aussi, reproducteurs. Du haut de ses douze ans, Glock’s Toto Jr lui en a déjà offert plus de quarante, comme Blue Hors Kingston (KWPN, d’une mère par Turbo Magic), Glock’s Kardam’s Whisper (KWPN, d’une mère par Sir Sinclair), Glock’s King Karim (KWPN, d’une mère par Painted Black), Glock’s Taminau (Han, d’une mère par Sandro Hit) et Georgous Latino (KWPN, d’une mère par Rubiquil). Avec une vingtaine de descendants, Governor assure, lui aussi, l’héritage de Totilas avec ...

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