Face à l’urgence climatique, la Fédération européenne et l’IFCE tentent d’orienter l’action de la filière équestre (1/2)

Force est de le constater: face à l’urgence climatique, les réponses seront en grande partie individuelles. Loin de ce que certains qualifient d’écologie “punitive”, ultra-coercitive et imposée par la loi, pour l’heure, il revient plutôt à chacun – individus, entreprises, organisations, etc. – d’agir de sa propre initiative. Les institutions de toutes sortes, sportives, éducatives, culturelles et autres, ont toutefois un rôle important à jouer en matière d’alerte, de sensibilisation, d’aide ou d’appui technique, voire d’exemplarité. Autant d’interventions qui misent non sur la contrainte mais sur la pédagogie. Dans la filière équestre, l’EEF, à l’échelle européenne, et l’IFCE, en France, semblent avoir pris cette direction.



Fondée en 2009, la Fédération équestre européenne (EEF) n’est aujourd’hui encore qu’une structure de dimension restreinte en comparaison avec la Fédération équestre internationale (FEI) ou la Fédération française d’équitation. Cependant, son influence n’est pas à négliger, puisqu’elle se veut l’organisation représentative des quarante fédérations nationales du Vieux Continent, leader dans le domaine des sports équestres. En étroite collaboration avec la FEI et ses membres nationaux, l’EEF a pour rôle de “travailler à maximiser le potentiel et le développement de l’&eacut...

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