Transmettre sa structure équestre : comme pour toute entreprise, c’est une fiscalité à anticiper !
Sujet redouté voire sujet tabou pour le grand public, la transmission d’une entreprise fait, pour autant, partie du cycle d’une carrière professionnelle. Comment en gérer la succession et établir l’avenir sereinement, avec une fiscalité avantageuse ? Les entreprises équestres, pourtant structurées au même titre qu’une entreprise classique, peinent à anticiper ce changement. Pour SLLfinance, gestionnaire de fortune depuis une quinzaine d’années, l’heure est au bilan et à la prospection, spécialement en ces temps d’incertitude de politique fiscale.
La filière équestre, un secteur aussi concerné que les autres
« Le monde professionnel du cheval est très souvent représenté par une entreprise agricole familiale. Haras, centre équestre, ou encore écurie de valorisation et de commerce, toutes les structures sont concernées. Il y a beaucoup de transmission intergénérationnelle, mais pas que. Comme toujours, la préparation est la clé, et des systèmes de transmissions avantageux existent ! », analyse en introduction Sébastien Le Louarn, cavalier de niveau CSI3*et fondateur de la société de gestion de fortune, family-office et corporate-finance SLLfinance, basée en Normandie depuis quinze ans. « Comme tout processus financier, la transmission d’une entreprise repose sur des textes de lois. En ces temps de changement de régime politique, et donc potentiellement fiscal, mieux vaut anticiper ».
Est-ce le bon moment pour les donations et organiser la transmission ?
« Oui ! Dans ces phases de changements fiscaux potentiels, il est également important de prendre le temps de regarder comment son épargne financière est structurée. On pense souvent, à tort, que les transmissions doivent se faire à l’aube de la retraite, alors qu’il est plus avantageux fiscalement de transmettre lorsqu’on est à mi-parcours de sa carrière professionnelle », poursuit Sébastien Le Louarn.
Le pacte Dutreil notamment, mis en place depuis 2003 pour alléger le coût fiscal de la transmission des entreprises dans le cadre familial, a vu ses statuts précisés le 29 décembre 2023 lors de la loi de finances 2024. « Avec l’appui du pacte Dutreil et sous réserve de quelques conditions spécifiques, il est possible d’exonérer à 75% la valeur des titres ou de l'entreprise (article 787 B du Code général des impôts, ndlr) », souligne le fondateur de SLLfinance.
Le cas de Jump Evolution
« Si l’on s’écarte du strict thème de la transmission, j’aimerais, par ailleurs, attirer l’attention sur l’une de nos options d’investissement, à savoir le fonds d’investissement Jump Evolution FR0013322435 », amène en conclusion Sébastien Le Louarn.
Ce fonds patrimonial a particulièrement bien négocié les derniers soubresauts des marchés. « En effet, les incertitudes demeurent nombreuses et le faible nombre d’intervenants durant la période estivale crée souvent des phases de volatilité sur les marchés financiers. Mentionnons, à ce titre, les élections législatives en France, les divers conflits géopolitiques ou encore le ralentissement global de l’économie mondiale à la suite des resserrements monétaires opérés pour lutter contre la hausse de l’inflation. Les actions internationales (en euro) sont à l’équilibre depuis fin juin, alors que Jump Evolution s’apprécie de +1,26% au 19/08 (+6,31% depuis le début de l’année 2024). Cela, grâce à la bonne tenue de la poche obligataire et à quelques solides performances d’actions telles que Newmont, le leader mondial dans la production aurifère, ou encore Fortinet, l’un des plus importants acteurs dans le domaine de la cybersécurité. Aujourd’hui le fonds présente un profil équilibré et sans biais spécifique entre actions et obligations ».
Contact :
SLLfinance, société de Sébastien Le Louarn.
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