“Avant l’arrivée de Jean Morel, je ne me sentais pas légitime pour concourir en CDI 5*”, Pauline Basquin (2/2)

Bien installée aux commandes du dressage tricolore, Pauline Basquin n’a pas fait que représenter la France l’été dernier aux Jeux olympiques de Paris. Plus que la nouvelle coqueluche du public, la cavalière du Cadre noir de Saumur est devenue une ambassadrice d’une certaine vision de l’équitation; peut-être même une réponse, parmi d’autres, aux critiques émises à l’encontre d’une discipline qui cherche les clés de son avenir. Entre son expérience olympique, la suite de la carrière de son fidèle Sertorius de Rima*IFCE, sa relève et ses ambitions pour elle et pour son sport, la Bretonne s’est confiée.



La première partie de cet entretien est à lire ici.Si l’évolution de la discipline est incontestablement nécessaire, la communication autour du dressage est aussi importante. Aujourd’hui, on voit que la plupart des reprises publiées sur les réseaux sociaux de la FEI, par exemple, sont énormément critiquées. Comment inverser la tendance? Honnêtement, je ne sais pas. Arrêter de publier des vidéos n’est pas la solution. Il y a probablement un travail de pédagogie à engager, en montrant que les choses évoluent dans le bon sens, que l’on voit de moins en moins de chevaux fermés, qu’il y a également de jolies attitudes, des chevaux plus dé...

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