Un désir d’ouvrir à tous le multi-propriétariat, confirmé par les statistiques de la première vente

“Equideal correspond à trois ans de réflexion: le but était de créer un projet profitable à tous, viable, et bénéfique pour le sport. Mon associé, Dorian Mouton est en charge du développement de l’application Equideal (une version ordinateur est aussi prévue, ndlr) tandis que j’assure la coordination globale du projet et le lien avec les acteurs de la filière équine pour garantir la cohérence et la pertinence de notre offr.”, introduit Franck Deschenaux, cavalier professionnel installé depuis quinze ans à l’Élevage de La Valière, en Saône et Loire. 

100% adaptable à chaque projet, la plateforme n’a pas de frontières et s’adresse aussi bien aux Français qu’au reste du monde. Ainsi, le premier cheval financé sur Equideal a reçu, entre autres, des investissements du Canada, de l’Indonésie, de l’Australie, du Maroc, etc. “C’est une joie de constater que son projet a trouvé écho auprès d’un public de connaisseurs et de non connaisseurs. C’était bien l’idée première d’Equideal, permettre à tous de soutenir la filière équestre et de prendre part à un projet sportif avec, à la clé, un retour sur investissement”, reprend Franck Deschenaux. 

Permettre au cavalier de se concentrer sur ses performances sportives

Pour illustration du fonctionnement d’Equideal, prenons l’exemple du premier cheval financé par la plateforme, Indy de Ravel St. Simeon (Balou du Rouet x Darco), un prometteur hongre de sept ans. “David Giffon (champion de France Pro 1 avec Amant du Château*GFE, ndlr), son propriétaire de l’époque et cavalier, a souhaité le proposer à Equideal afin que nous trouvions des investisseurs. Suite à la validation du projet sportif et commercial par notre comité, et d’un commun accord avec David, nous avons financé 100% du projet (le pourcentage financé est librement fixé par le porteur de projet et Equideal, ndlr). Nous avons proposé plus d’un millier de parts, qui ont été acquises par une centaine d’investisseurs de tous bords. Ces derniers ne sont pas décisionnaires, la gestion du cheval est conservée par le porteur du projet (son cavalier, son propriétaire originel, etc.). Selon le contrat de vente, le cheval doit être revendu dans un laps de temps décidé en amont du projet (à définir avec Equideal, un an ou plus) avec, comme objectif, une plus-value à la revente. Ainsi, tous les partis sont bénéficiaires : le cavalier peut conserver son cheval encore un certain temps pour le valoriser, le propriétaire est soutenu financièrement, et les investisseurs peuvent s’attendre à un retour au bout de X mois”, poursuit le fondateur d’Equideal. Il est à noter que chaque investisseur acquiert également à son échelle une partie de l’assurance mortalité et invalidité du cheval en question, ce qui implique une protection à hauteur de l’investissement.

Présent et avenir d’Equideal

Gaby de Courcel (Type Top du Monteil x Lamm de Fetan), actuellement en cours de financement et valorisée par Cyril Bouvard, est quant à elle vendue à hauteur de 50%. “Chaque cheval avancé par le porteur de projet est étudié selon ses compétences et ses perspectives d’évolution. Si le cheval coche toutes les cases pour être un projet rentable, c’est validé ! Equideal est une entreprise toute neuve, et nous avons déjà mille évolutions en tête”, conclut Franck Deschenaux. 

Plus d’informations :

. Equideal, plateforme de multipropriété en toute simplicité et transparence, ouverte à tous.
. Ouverte aux chevaux de sport à partir de quatre ans, pour une évolution à niveau national et/ou international.
. Disponible sur Android et IPhone. 

Contact:

Franck Deschenaux - 06 72 89 73 21 - [email protected]
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