À un an de l'événement, les JEM de Tryon prennent forme
Du 11 au 23 septembre 2018 se tiendront les Jeux équestres mondiaux sur le site de Tryon en Caroline du Nord (États-Unis). Cet événement regroupera en quinze jours sur un même site les championnats du monde pour huit disciplines. Un premier tour du site a été effectué dernièrement par une comission internationale.
Pendant quinze jours, le Parc équestre de Tryon va vivre au rythme des sabots des meilleurs athlètes de la planète, dans les huit disciplines reconnues par la Fédération équestre internationale (FEI). Le concours complet, le dressage, l'endurance et le reining auront lieu la première semaine et le saut d'obstacles, le para-dressage, la voltige et l'attelage se tiendront la deuxième semaine.
Du 1er au 3 mai dernier, les chefs de mission de toutes les nations équestres participaient à un regroupement sur le site de compétition afin que l'organisateur présente les installations et les principales informations concernant la compétition. Martin Denisot, cadre technique de la Fédération française d'équitation et chef de mission pour cet événement y participait. "Les installations sont impressionnantes, alors même qu'il reste beaucoup de choses à construire", commence-t-il. "L’ensemble des disciplines se dérouleront sur un même site. Le stade principal actuel contient 6.000 places, c'est une très belle enceinte sportive qui servira pour le dressage du concours complet et le para-dressage. Un second stade provisoire doit être monté pour l’événement, il accueillera 20.000 spectateurs et servira au saut d'obstacles et au dressage. Un grand hall couvert accueillera les épreuves de reining et de voltige avec 5.000 places. Les 160 km de l'endurance se dérouleront autour du site dans un paysage boisé et plutôt vallonné. L'attelage aura un stade sur sable de 3.000 places pour le dressage et la maniabilité, et le marathon se déroulera sur le même espace que le cross du concours complet. C'est une grande plaine plutôt plate ou l'on devrait voir une grande partie des épreuves."
En ce qui concerne l'hébergement des chevaux et des humains, là aussi, l'organisation a vu grand. "Des boxes en dur d'une grande qualité sont sur place et pourront loger l'ensemble des chevaux. Plusieurs hôtels, sur place, sont également en construction, ils permettront de loger plus de 2.000 personnes, dont l'ensemble des athlètes et des staffs."
Et si les choses se mettent en place progressivement, l'organisation a désormais toutes les cartes en main pour satisfaire tout le monde. "Lors de ce séminaire de deux jours on nous a présenté l'échéancier prévu jusqu'à l’événement avec notamment un test event qui sera organisé en octobre 2017 ou en avril 2018 pour chaque discipline. Nous avons échangé sur les problématiques de transport, de protocole vétérinaire, d'accréditation et de plusieurs autres points de logistique à anticiper. Le propriétaire des installations, qui détient également le site équestre de Wellington, a prévu de nous offrir une grande compétition, et nous avons pu constater que les moyens n'étaient pas vraiment limités afin de nous accueillir l'année prochaine dans de bonnes conditions."
Du 1er au 3 mai dernier, les chefs de mission de toutes les nations équestres participaient à un regroupement sur le site de compétition afin que l'organisateur présente les installations et les principales informations concernant la compétition. Martin Denisot, cadre technique de la Fédération française d'équitation et chef de mission pour cet événement y participait. "Les installations sont impressionnantes, alors même qu'il reste beaucoup de choses à construire", commence-t-il. "L’ensemble des disciplines se dérouleront sur un même site. Le stade principal actuel contient 6.000 places, c'est une très belle enceinte sportive qui servira pour le dressage du concours complet et le para-dressage. Un second stade provisoire doit être monté pour l’événement, il accueillera 20.000 spectateurs et servira au saut d'obstacles et au dressage. Un grand hall couvert accueillera les épreuves de reining et de voltige avec 5.000 places. Les 160 km de l'endurance se dérouleront autour du site dans un paysage boisé et plutôt vallonné. L'attelage aura un stade sur sable de 3.000 places pour le dressage et la maniabilité, et le marathon se déroulera sur le même espace que le cross du concours complet. C'est une grande plaine plutôt plate ou l'on devrait voir une grande partie des épreuves."
En ce qui concerne l'hébergement des chevaux et des humains, là aussi, l'organisation a vu grand. "Des boxes en dur d'une grande qualité sont sur place et pourront loger l'ensemble des chevaux. Plusieurs hôtels, sur place, sont également en construction, ils permettront de loger plus de 2.000 personnes, dont l'ensemble des athlètes et des staffs."
Et si les choses se mettent en place progressivement, l'organisation a désormais toutes les cartes en main pour satisfaire tout le monde. "Lors de ce séminaire de deux jours on nous a présenté l'échéancier prévu jusqu'à l’événement avec notamment un test event qui sera organisé en octobre 2017 ou en avril 2018 pour chaque discipline. Nous avons échangé sur les problématiques de transport, de protocole vétérinaire, d'accréditation et de plusieurs autres points de logistique à anticiper. Le propriétaire des installations, qui détient également le site équestre de Wellington, a prévu de nous offrir une grande compétition, et nous avons pu constater que les moyens n'étaient pas vraiment limités afin de nous accueillir l'année prochaine dans de bonnes conditions."