Hier à Leipzig, le chef d’équipe suisse Michel Sorg a bondi sur le kiss and cry lors du passage de la ligne d’arrivée de Martin Fuchs en seconde manche. Pour cause, le prodige de vingt-neuf ans a mis la pression à la concurrence, qui a fini par flancher et lui laisser la plus haute marche du podium. C’est un chef d’équipe très heureux que GRANDPRIX a rencontré juste avant la remise des prix.
“Une bonne leçon”, Grégory Cottard
“Si tous les humains avaient le même cœur que Bibici, on aurait un beau monde”, dit aussi Grégory Co ...